Voici le témoignage de gens qui n’étaient PAS différents de vous et moi AVANT que leur vie ne bascule :
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« J’ai senti une vague qui m’a traversé, avec une perte de mémoire immédiate, et une perte de concentration… »,
victime anonyme.
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« J’ai soudainement perdu le contrôle de mes jambes et me suis écroulé. »,
Nicolas [source].
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« Je ne pouvais progressivement plus parler, argumenter et même comprendre mes interlocuteurs en réunion. »,
Jean-Michel, 55 ans [source].
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« Je sais aujourd’hui qu’à 3 heures les opérateurs téléphoniques « rebootent » les antennes relais. De fait, elles crachent un maximum d’ondes. […] Je ne peux même plus dormir avec mon mari dans notre chambre. Sinon, chaque nuit, comme c’est le cas depuis 2003, je me réveille pile à 3 heures. »,
Véronique, ancienne enseignante [source].
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« On a mal à la tête toujours, toujours, toujours… »,
victime anonyme.
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« Je me suis sentie de plus en plus brûlée, attaquée. J’ai eu les poumons vraiment brûlés. »,
victime anonyme.
Et ce n’est pas fini…
La diversité des témoignages est étonnante, avec des symptômes soudains et parfois très violents… ou au contraire lancinants et déroutants !
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« J’étais au restaurant avec ma femme… Soudain mon cerveau s’est mis à grésiller et ma peau à brûler, littéralement. Par la suite, j’ai ressenti des vertiges, de très violents maux de tête, des acouphènes et des troubles digestifs. »,
Léon, 63 ans [source].
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« Comme des brûlures d’orties partout dans les bras. […] Je ne peux plus réfléchir tellement les douleurs sont fortes. […] Selon l’intensité, j’ai besoin de plusieurs jours pour me remettre »,
Eva, 40 ans [source].
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« Je dois m’y reprendre à dix fois pour lire un article de magazine »
victime anonyme [source].
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« Des douleurs partout, avec de temps en temps des acouphènes, mais tout le temps mal à la tête… plus ou moins fort… mais sans interruption »,
victime anonyme.
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« Comme un monde où n’existeraient pas les zones non-fumeurs »,
Christophe, 31 ans.
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« Je me sens électrifié »,
victime anonyme.
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« À plusieurs reprises, je me suis perdue entre chez moi et la boulangerie », victime anonyme [source].
Même si vous n’avez pas lu mon précédent message (article à retrouver en cliquant ici), vous avez sûrement déjà entendu parler de l’allergie aux ondes. C’est un syndrome qui touche déjà une personne sur 12 selon les estimations.
Mais il est difficile de connaître le chiffre réel, car certaines autorités sanitaires refusent de reconnaître ce syndrome [source, source]. Si chaque victime livre son témoignage, nous arriverons à changer les mentalités !
« On m’a déclaré en burn-out. Un autre médecin a utilisé le terme de dépression avec névrose obsessionnelle, pour vous dire jusqu’à quel point ça va »
[source].
Un cauchemar éveillé
Les personnes atteintes d’allergie aux ondes voient leur vie basculer. C’est le cauchemar :
Elles ne peuvent plus travailler. Leur carrière s’arrête brutalement.
Elles ne peuvent plus dormir, à moins d’installer leur lit dans une cage de Faraday en grillage métallique qui bloque les ondes :
Elles ne peuvent plus voyager [source].
Elles sont souvent obligées de quitter leur logement en ville pour échapper au brouillard électromagnétique.
Elles doivent investir dans des équipements coûteux pour se protéger des ondes.
Elles sont atteintes de maux pénibles : vertiges, maux de dents et de gencives, troubles du rythme cardiaque, acouphènes, douleurs articulaires, irritabilité, insomnie, dépression, fatigue permanente, difficulté à se concentrer [source].
Il n’y a pas que vous dans la boucle
J’entends ceux qui disent :
« Je suis résistant, ça ne m’arrivera jamais ».
Je vous le souhaite, bien sûr, mais vous n’êtes pas le seul paramètre de cette équation.
- Le nombre de nouveaux objets connectés explose de jour en jour ;
- Les nombreuses nouvelles antennes installées chaque semaine, notamment pour la 5G ;
- Les mises en orbite de nouveaux satellites télécom (notamment ceux d’Elon Musk pour la 5G) qui ne font même plus la une des médias, tant elles sont fréquentes.
C’est quotidien !
Rien que dans mon entourage :
- Ma belle-sœur vient d’acheter un diffuseur à parfum connecté — “comme ça, il n’y a pas besoin de boutons sur l’appareil, c’est plus design, et je contrôle tout avec l’application sur mon smartphone”…
- Mon voisin a installé une alarme de maison avec des modules de détection interconnectés sans-fil, parce que… “c’est pratique”.
Moi aussi, je plaide coupable…
L’hiver dernier j’ai acheté, sans le savoir, un chauffage d’appoint Wi-Fi (avec le télétravail, j’ai dû transformer ma véranda en bureau).
Me connaissant, vous imaginez bien que j’ai tout de suite éteint la fonction Wi-Fi. Mais pour rire un peu, voici ce que dit le manuel du fabricant :
“Un mode absent a été conçu pour diminuer vos factures d’électricité. Une fois les dates et heures d’absence indiquées, la température souhaitée est maintenue pendant votre absence et l’application augmente automatiquement la température pour votre retour afin que vous reveniez dans une maison agréable et chaude. Si vous avez plusieurs chauffages, l’application vous permet de les gérer, où que vous soyez dans le monde.”
Ça me fait une belle jambe de pouvoir allumer mon chauffage quand je suis à Tokyo. Mais à part ça, avouez que ça fait envie. On se dit c’est malin. On se voit déjà faire des économies (j’entends les mains qui se frottent l’une contre l’autre). Ils sont très très forts. Et puis ajouter une fonction Wi-Fi leur permet de se démarquer de la concurrence.
Le mirage des maisons intelligentes
Subtilement… irrémédiablement… à coup de “ça va vous simplifier la vie”, ils sont en train de transformer nos maisons en champ de mines électromagnétiques.
Non, ce n’est pas de leur faute. Ils n’ont pas de mauvaise intention. C’est nous qui sommes leurrés par ces promesses d’un monde plus simple, entièrement automatisé, où tout se fait par le smartphone.
Et en soi, ce monde “smart”, automatisé, qui permet d’éviter le gaspillage, et d’améliorer notre confort… c’est un monde désirable.
Seulement, en échange, le brouillard électromagnétique environnant se densifie jour après jour. Nous approfondirons ce sujet une autre fois.
Rassemblons plus de témoignages
En attendant, si vous connaissez des personnes allergiques, intolérantes ou sensibles aux rayonnements électromagnétiques, je vous invite à me partager leur témoignage en laissant un commentaire ci-dessous. Merci de préciser si vous préférez que le témoignage soit rendu anonyme lors de la publication.
J’ai pour projet de les rassembler en un livret. À diffuser ensuite avec Pierre Garnier — au nom de la communauté SerenWays — à nos élus pour éveiller les consciences.
Ils ne peuvent plus refuser de regarder la réalité en face. Balayer des vies brisées d’un revers de la main.
En soit, le combat n’est pas différent de l’instauration de lieux non-fumeurs. On ne fume pas dans les crèches. On devrait, par exemple, exiger d’activer le mode avion à l’entrée de la crèche.
Nous devons nous engager dès aujourd’hui pour éviter que la situation n’empire. Merci d’avance pour vos contributions. N’hésitez pas à relayer cet appel autour de vous (partagez en un clic sur Facebook ici, ou sur les autres réseaux sociaux grâce aux boutons ci-dessous).
Chaque témoignage compte !
Bien à vous,
David Farel