Les ondes ? Depuis l’origine, SerenWays s’intéresse surtout aux dangers que posent les nouvelles technologies, en particulier pour nos enfants : addiction aux écrans, exposition à la violence et à la pornographie, failles de sécurité digitale… 

Or l’adoption massive, et de plus en plus rapide, des nouvelles technologies génère aussi de sérieux risques pour la santé

Ces nouveaux objets électroniques agissent comme des “perturbateurs” dans notre environnement. J’avais par exemple traité le sujet de la lumière bleue des écrans qui perturbe le sommeil dans cette lettre.

Aujourd’hui je veux aborder le sujet des “risques santé” liés aux ondes, rayonnements et champs électromagnétiques.

Ondes et aliments…

À votre avis, quel est le point commun entre :
– un oeuf,
– de la crème,
– des noix,
– un kiwi,
– du pain… ?

Ondes et aliments, des risques pour la santé
Des aliments variés, mais pas un plaisir pour tous !
source : Trang Doan
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Ce sont des produits alimentaires du quotidien… qui paraissent inoffensifs. On aime ou on aime pas, mais on ingère ces produits. Ils ont des effets sur notre corps. 

Tout le monde en mange sans problème. Disons… “presque”. Car si vous donnez une simple cacahuète à un enfant allergique à l’arachide… c’est la catastrophe

Il faut réagir vite : médicaments anti-histaminiques, voire injection d’adrénaline dans la cuisse pour éviter l’œdème de Quincke. Et si le gonflement se poursuit, direction l’hôpital en réanimation ! 

La forme la plus extrême c’est l’allergie, mais de plus en plus de personnes sont devenus intolérants. Par exemple au lactose contenu dans le lait de vache. 

Il faut alors diminuer les doses, ou choisir des produits adaptés (lait sans lactose, lait de chèvre naturellement pauvre en lactose etc…)

Parmi mes 4 enfants, j’en ai un qui est allergique. Résultat : on ne sort jamais sans une trousse médicale, avec anti-histaminiques et “stylo d’adrénaline injectable” type Epipen / Anapen. 

Zéro vacances, la vigilance doit être quotidienne. En cas d’allergie ou d’intolérance, il faut accepter de remettre en cause certains choix pour retrouver un peu de sérénité.

Et la technologie ?

Mon intuition est que pour la technologie, c’est pareil. 

Seule une petite partie de la population est aujourd’hui alertée de certains risques. Je veux parler des ondes, rayonnements et champs électromagnétiques

Générés par les appareils électriques, les objets électroniques et les câblages électriques.

Certaines personnes sont “allergiques” et d’autres déjà “intolérantes”. Mais tôt ou tard, de plus en plus de personnes seront “sensibles” et développeront des symptômes gênants. 

Bien réels, et difficiles à traiter !

De plus en plus d’études scientifiques – même si les lobbies industriels sont puissants – montrent qu’il y a de vrais risques, et qu’il faut agir au plus vite pour s’en protéger. 

Nos enfants appartiennent à une génération entourée de technologie, baignée d’ondes électromagnétiques. Et ce, depuis le berceau. Notamment avec les fameux “babyphones” (ou écoute-bébé pour nos amis québécois) que j’ai moi-même utilisés.

Quel impact sur la santé ?

C’est un changement sans précédent dans l’histoire humaine, et nous n’avons pas les idées claires sur les effets à long terme sur la santé. Notamment l’inflammation chronique. Mais aussi les problèmes de sommeil, de concentration…

Le bon sens paysan autant que le principe de précaution cher à nos élus voudraient qu’on se protège des rayonnements électromagnétiques (REM). 

Mieux vaut prévenir que guérir : c’est moins coûteux, moins douloureux. 

Alors il faut agir en prévention (la prophylaxie, comme diraient les médecins). Nos enfants ne sont pas des cobayes !

C’est d’autant plus important que les bébés et les jeunes sont plus perméables aux rayonnements. Les os de leur crâne sont plus fins, et leur cerveau est en plein développement. 

Les enfants sont encore plus sensibles aux rayonnements électromagnétiques que les adultes. C’est normal, leurs cellules se multiplient vite puisqu’ils sont en croissance.

Allergies…

Peu de parents font le lien, mais ces jeunes générations sont déjà fortement touchées par l’inflammation chronique, aux origines variées :

  • allergies alimentaires ;
  • allergies environnementales (pollens, soleil) ;
  • eczéma, rougeurs, irritations des muqueuses (yeux, bouche).

En parallèle, nous observons la montée rapide d’un nouveau type d’allergie environnementale : l’allergie aux rayonnements électromagnétiques (REM).

Pour rappel, l’allergie c’est lorsqu’une stimulation (= mise en contact) provoque une réaction auto-immune (= le corps s’attaque lui-même).

Pendant des années, on mange de tout sans problème. Et puis un jour on développe une allergie, même avec une toute petite stimulation. 

Cette stimulation peut paraître dérisoire aux yeux des autres, par exemple une simple cacahuète.

L’allergie aux ondes, c’est pareil ! 

Pendant des années, on supporte de dormir avec le Wi-Fi allumé, le smartphone à côté de la tête, des câbles multiprises sous la table de nuit… 

Puis, un jour, on commence à ressentir brûlures, picotements, maux de tête. Mais aussi insomnies, difficulté de concentration, perte d’énergie etc… 

Tout bascule. Après ça, la moindre stimulation électromagnétique devient douloureuse.

On a franchi un seuil de sensibilité qui fait qu’une stimulation autrefois indolore, puis supportable, devient pénible.

Sans fil : miracle ou mirage ?

Les Anglais disent : “Better safe than sorry”, qui se traduit littéralement par “Mieux vaut être prudent que désolé”.

Comme vous sans doute, j’imaginais que les technologies sans fil et les champs électromagnétiques générés par tous nos appareils électriques resteraient bénins pour la grande majorité de la population. 

Et que les personnes allergiques aux ondes ne seraient qu’une infime minorité. Des gens un peu bizarres qui doivent aller vivre dans une grotte.

Je me suis trompé.

Le problème, c’est que le brouillard électromagnétique ne fait que s’épaissir année après année, voire de mois en mois.

Le brouillard électromagnétique : nous sommes exposés à des ondes en permanence
Les villes, en plein brouillard électromagnétique
source : nuran mammadov

Il y a 5 ans, la plupart des gens utilisaient encore des écouteurs filaires pour passer leurs appels et profiter de la musique. Aujourd’hui, les Airpods et autres casques sans fil Bluetooth sont partout.

Sans fils ne veut pas dire sans ondes, au contraire !
Les appareils sans fils sont partout
source : fauxels

Les objets connectés colonisent nos maisons : 

  • ampoules pilotables sur un smartphone, 
  • compteurs permettant les relevés à distance (ex. Linky en France), 
  • télévisions intelligentes reliées en Wi-Fi, 
  • bracelets de fitness reliés à des applications, 
  • montres connectées, 
  • radiateurs pilotables en sans fil, 
  • serrures déverrouillables sans contact…. 

La liste s’allonge jour après jour. Et ce n’est que le début.

5G et satellites…

Avec le déploiement à grande échelle de la 5G, le réseau d’antennes va se densifier considérablement. 

Les antennes-relais ne seront plus simplement sur le toit d’un immeuble du quartier, elles seront sur chaque lampadaire ou arrêt de bus. Dans les arbres, et sans doute même dans les ampoules.

Que ça vous plaise ou non, vous n’avez pas le contrôle. Et ce danger invisible va vous menacer. Vous, vos enfants et petits-enfants.

Avec son projet Starlink d’accès à Internet sur toute la surface de la terre, Elon Musk est en train de mettre sur orbite 42 000 nouveaux satellites. Lancés chaque mois par SpaceX depuis 2019, il y en a déjà 2 000 !

Mettons ce chiffre en perspective : avant ce projet il y avait à peine 2 000 satellites sur orbite, ce qui est déjà considérable. On a fait x 2, et on parle de multiplier par 20 le nombre de satellites en orbite au-dessus de nos têtes en quelques années.

Des dizaines de satellites Starlink sont déployés à chaque lancement
source : SpaceX

Sans compter les constellations de satellites lancés par les projets concurrents OneWeb, Kuiper Project, Sfera, Guowang… Je vous reparlerai en détail de ce sujet une autre fois.

Avec tous ces émetteurs de rayonnements électromagnétiques supplémentaires, qui peut prévoir les effets sur notre santé ? 

Et en particulier sur la santé de nos enfants, qui sont plus vulnérables que nous, adultes.

Une nouvelle voix

C’est en cherchant des réponses concrètes à cette question délicate que j’ai fait la connaissance de David Farel

C’est un père de famille, comme moi. Soucieux de la santé de ses proches, dans ce monde qui change à toute vitesse. 

David s’est mis à étudier les ondes il y a 4 ans. Sa sœur, qui souffrait de graves insomnies, a retrouvé le sommeil en éteignant sa box Internet la nuit. 

Ça a été le déclic.

De là, David s’est mis à recenser les effets indésirables des ondes (il vous en reparlera), et à étudier les solutions accessibles pour vivre en harmonie avec les appareils connectés. 

Il ne s’agit pas de tout éteindre, ou de s’enfuir élever des Yacks en Mongolie !

Nous nous entendons bien David et moi, car nous ne sommes pas réfractaires au changement

Au contraire, comme beaucoup de spécialistes des ondes, David est plutôt technophile (sans être techno-fanatique pour autant). 

Il est comme moi, vigilant et pragmatique.

Je donnerai donc la parole à David Farel, et à quelques autres intervenants triés sur le volet. Je vous les présenterai dans les mois à venir. 

Ils nous permettront d’explorer d’autres pans de la gestion des risques qu’ils connaissent par cœur. Et d’apporter de vraies solutions.

Je vous prie de réserver le meilleur accueil à David Farel. Il a toute ma confiance.

Découvrez, avec son premier message, les enjeux de la 5G grâce à une vidéo choc de 3 min, en cliquant ici ou sur l’image ci-dessous :

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Bien à vous,

Pierre Garnier

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